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9 articles taggés Melinda Sordino

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« Awards Chatter » Hollywood Reporter's Podcast Interview by Scott Feinberg [28.12.15]

→ « Awards Chatter » Hollywood Reporter's Podcast Interview :

« Awards Chatter » Hollywood Reporter's Podcast Interview by Scott Feinberg [28.12.15]
(Traduction)

« Comme quelqu'un qui a traité le plu absurde, vraiment surréaliste, comme parfois les médias peuvent incroyablement superficiels - et la perception par rapport à la vérité - je pensais que c'était drôle et approprié pour ce rôle, » dit l'actrice Kristen Stewart grâce auquel elle reçoit des critiques élogieuses. Val, assistante d'une star de cinéma dans le monde obsédé par la célébrité d'Olivier Assayas, la comédie d'humour noire « Sils Maria » » - tandis que nous nous asseyons pour tourner un nouvel épisode d' « Awards Chatter. » « Il n'y avait personne qui pouvait dire ces choses avec plus de connaissances, et les gens le savent » elle continue avec un rire. « Je voulais ces mots dans ma bouche. »
Pour sa performance dans un Indie français, Stewart est devenue la première actrice américaine à remporter un César [équivalent français d'un Oscar] et choisie comme « Meilleure Actrice dans un Second Rôle » par New York Film Critics Circle et Boston Society Film Critics [elle était finaliste par Los Angeles Film Critics Association] - un accusé de réception qu'elle appelle « Très cool et inattendue, » en particulier pour un film qui est sorti en Avril. Mais ce n'est pas étonnant que l'actrice de vingt-cinq ans à secouer le rôle - pour ses commentaires ci-dessus, elle se prépare depuis des années.
Stewart a commencé à tourner quand elle était enfant et est devenue le visage de l'une des plus grandes franchises de tous les temps tandis que ses ami[e]s allaient au collège, poussant dans le centre d'un monde semblable à celui de « Sils Maria. »
« J'ai fait « Twilight 1 : Fascination » quand j'avais dix-sept ans, il est sorti quand j'avais dix-huit ans et ma vie n'a jamais été la même, » dit-elle. Son travail était plus l'objet de toute l'attention qu'elle recevait, plutôt, comme personnes, les fans et les ennemis aussi - obsédés par leur apparence, ses relations et chacun de ses déplacements, « un grand changement de vie » ce n'est pas facile à aborder. Même si, elle dit qu'elle ne regrette pas sa décision de rejoindre la « Saga Twilight : » « Un grand nombre d'autres bagages - très lourds et très cool - ils sont venus comme ça. »
C'est heureux que la folie autour de Stewart ne l'ait pas arrachée de sa profession, parce qu'elle a réalisé que ça lui donné une « occasion de partager des choses » d'importance pour elle « avec une quantité épique de personnes » - notamment les films indépendants du genre qu'elle se spécialise avant la « Saga Twilight » où elle a continué à faire entre ses parcelles et qu'elle a fait presque exclusivement depuis qu'elle a terminé son travail sur la « Saga. » « Sils Maria, » un projet français de six millions de dollars, est l'un d'eux. [Il n'a jamais trouvé un public, mais il a très bien reçu par les critiques, un total de quatre-vingt-neuf pourcents sur « Rotten Tomatoas. »]
Stewart, était préoccupée par des films comme un enfant [Sa mère était superviseur de scénarios] et a demandé à auditionner pour des rôles d'enfants [Ses parents se sont battus plus tôt] dit qu'elle est venue - et est - sortir de sa coquille de timidité tout en vivant la vie d'autrui. Initialement, l'appel du cinéma était un environnement excitant, mais elle dit qu'elle a réalisé que l'appel à l'action est arrivé en faisant l'indie « Speak, » quand elle avait treize ans. « Il m'a ému d'une manière que je me sentais au-delà de ce que je pensais pouvoir être, » dit-elle. Le film a eu sa première à Sundance, ainsi que d'autres budgets à petits budgets qu'elle a joué plus tard, incluant « Adventureland : Un Job à Éviter, » « The Yellow Handkerchief, » « Welcome To The Rileys, » « The Runaways » et « Camp X-Ray. »
Mais Stewart est prompt à souligner qu'elle ne juge pas le film par sa taille et qu'elle aimait la « Saga Twilight » et « Blanche Neige et le Chasseur » [2012], son autre film à gros budget. « C'était rare de voir des films que je tenais à cette échelle, » dit-elle, « Et je n'ai pas vraiment depuis, je vais probablement essayer de faire le travail, » continua-t-elle. « Je suis vraiment attirée par la matière qui se déplace, » observe-t-elle. « Je me trouvais récemment dans une sorte de diagonale, un peu moins linéaire, en termes d'histoire, et ceux qui sont toujours moins commerciales. »
Stewart, qui a décrit sa technique de jeu comme un coup de pouce, s'engage pleinement à tous ses projets, corps et âme. « Quand vous sentez que vous allez est quand vous vous sentez le plus vivant, » affirme-t-elle. « Je me sens comme si je pouvais réellement entrer en combustion spontanément parfois et ne pas être en mesure de continuer. » Même si ça peut paraître un peu malsain, elle insiste sur le fait que c'est exactement ce qu'elle pointe - trouver le plus souvent tandis qu'elle grandit. « Je me fais un peu plus confiance. Quand j'étais plus jeune, j'ai l'habitude d'être anxieuse et nerveuse, que j'ai encore. C'est juste que j'arrive à mieux les canalise. Je m'améliore à chaque fois que je fais un film. » Elle ajoute, « Ça devient plus amusant. »
L'approche de Stewart pour le travail et la vie a impressionné beaucoup de ses collègues plus expérimentés - Jodie Foster dans « Panic Room, » Melissa Léo dans « Welcome To The Rileys, » Julianne Moore dans « Still Alice, » et Juliette Binoche dans « Sils Maria » sont devenus des champions vocales. [« Ce sont des femmes que tout le monde, réellement, auraient la chance de passer du temps avec, » dit Stewart.] Certaines de ces femmes semblent vouloir la protéger de l'absurde qu'elle doit faire face lorsqu'elles ne travaillent pas, que, souvent, compréhensible, a laissé sa fragilité. Mais, quand « Sils Maria » lui a été offert, Stewart - faisant une pause un moment - embrassant une occasion de se défendre. « J'ai fait divers personnages qui ne parlent pas beaucoup, » dit-elle. « À ce moment, je suis prête à commencer à parler. »
Stewart se sent comme si les nuages proposent un « Lent - je veux dire une bonne connotation - réfléchie, une très belle méditation » sur l'obsession de la célébrité, qui est quelque chose qui mérite clairement un examen plus approfondi. « C'est étrange car ça change la façon dont je dois approcher ma vie de tous les jours, » dit-elle. « Je ne laisse jamais tomber. Je n'ai jamais eu un Twitter public, je n'ai jamais eu un Facebook public ou des choses où les gens vont regarder chaque mouvement, comme Instagram et d'autres choses comme ça, c'est vide et inquiétant. » Elle fait une pause et dit avec enthousiasme : « Je ne comprends pas comment tant de gens ne voient pas comment c'est, c'est rien. C'est juste rien, tout ça n'existe pas. Alors oui, c'est bizarre - mais c'est logique. » La signification ? Il prend en charge une demande de beaucoup de gens ennuyés, elle explique et ça produit également « Beaucoup d'argent, beaucoup de visites sur les sites. »
Le film explore également un certain nombre d'autres sujets intéressants, comme l'âge dans le show business, et c'est très européen, dans le bon sens - c'est orienté par les dialogues, qui tourne autour de personnages féminins et ne prétend pas répondre à toutes les questions qu'elle soulève. « J'aime les questions sans réponses à la fin de celui-ci, » dit-elle.
Stewart dit qu'elle n'a pas l'intention d'arrêter de tourner à ce moment-là, malgré le prix qu'on la paie pour le faire. [Elle a terminé la production du prochain film de Woody Allen, dans lequel elle est couple pour la troisième avec Jesse Eisenberg, et qu'elle décrit comme « un voyage, » suggère par Allen, qu'elle compare à un grand-père drôle et l'appelle « Mec » sur le plateau de tournage, c'est un grand metteur en scène à cause de la façon dont il écrit ses personnages.] « Je me sens vraiment stimulée, contestée et pas ennuyée, » dit-elle. « Si ça franchi la ligne, je cesse de tourner. » Elle est également intéressée par l'écriture d'un scénario, et a un « désir vraiment, vraiment, vraiment difficile à conduire, » probablement quelque chose de « format libre. » Mais, pour l'instant, elle insiste : « Je suis follement amoureuse de ce que je fais. »
Quels conseils a-t-elle pour la dernière personne qui joue dans ce broyeur de viande du monde de la célébrité, l'actrice principale de « Stars Wars 7 : Le Réveil de la Force, » Daisy Ridley, vingt-trois ans ? « Concentre-toi sur le fait que tu es ravie parce que tu fais ce que tu veux faire, » offre-t-elle. « Littéralement c'est juste se concentrer sur qui te rend heureuse. Et si perdre l'anonymat ne te rend pas heureuse, concentre-toi sur autre chose. »
« Sils Maria » a été lancé par Sundance Selects le 10 Avril. Les jury électeurs sont invités à envisager Stewart pour le prix de la « Meilleure Actrice dans un Second Rôle. »
Tags : Event Hors Promotion, 2015, Podcast Interview, « Awards Chatter » Hollywood Reporter's, Scoot Feinberg, Sils Maria / The Clouds of Sils Maria, Olivier Assayas, Valentine, Récompense, 40ème Cérémonie des César, César, Meilleure Actrice dans un Second Rôle, New York Film Critics Circle, Boston Society Film Critics, Los Angeles Film Critics Association, The Saga Twilight, Stephenie Meyer, Twilight 1 : Fascination, Bella Swan, Catherine Hardwicke, Rotten Tomatoes, Jules Mann-Stewart (MamanStew), John Stewart (PapaStew), Stewart's Family, Speak, Jessica Sharzer, Melinda Sordino, Sundance Film Festival, Adventureland (Un Job à éviter), Greg Mottola, Emily Lewin, The Yellow Handkerchief, Udayan Prasad, Martine, Welcome to the Riley, Jake Scott, Mallory/Allison, The Runaways, Flora Sigismondi, Joan Jett, Camp X-Ray, Peter Sattler, Amy Cole, Snow White And The Huntsman (Blanche Neige et le Chasseur), Rupert Sanders, Blanche-Neige, Panic Room, David Fincher, Sarah Altman, Jodie Foster, Meg Altman, Melissa Léo, Loïs Riley, Still Alice, Richard Glatzer, Wash Westmoreland, Lydia Howland, Julianne Moore, Alice Howland, Juliette Binoche, Maria Enders, Cafe Society, Woody Allen, Vonnie, Jesse Eisenberg, Bobby, Star Wars 7 : Le Réveil de la Force, J.J Abrams, Daisy Ridley, Rey
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#Posté le lundi 07 novembre 2011 05:30

Modifié le mercredi 01 février 2017 03:00

Madame Figaro [Mars 2015]

(Transcription)

Madame Figaro [Mars 2015]
KRISTEN STEWART LE VISAGE D'UNE GÉNÉRATION
 
Ex-teen star de la « Saga Twilight », elle a réussi l'exploit de décrocher un césar pour sa vibrante performance dans « Sils Maria, » d'Olivier Assayas. Aujourd'hui, la bad girl de Hollywood, troublante égérie Chanel, impose son talent radical avec « Still Alice. »

Le rossignol chante, le chien aboie, la pluie mouille, et Kristen Stewart est naturellement éblouissante. Tout cela fait partie d'un ordre immuable. À elle seule, elle est l'incarnation d'une nouvelle génération d'actrices qui cultivent l'air maussade et défiant des cow-boys fatigués. Une assurance diabolique, un physique androgyne, un air frondeur, une beauté paradoxale - âpre et féminine - mêlée d'un sex-appeal incandescent, bref, une certaine idée d'un glamour moderne qui cultive une « trashitude » raffinée. L'insoumise de Hollywood aux allures de « neo tomboy » répète à l'envi : « Je mets des gants de boxe avec « non » écrit dessus. » Et cela lui porte chance. Elle est la première Américaine à avoir obtenu un césar, celui du Meilleur Second Rôle dans « Sils Maria, » le dernier film d'Olivier Assayas.

DES CÉSARS AUX OSCARS
C'est en robe Chanel blanche et vaporeuse - elle est l'une des magnétiques égéries de la maison de la rue Cambon -, le front barré d'une mèche rebelle, que l'actrice s'est élancée sur la scène du théâtre du Châtelet pour recevoir sa récompense, lâchant un « Waouh ! » lapidaire suivi de quelques mots bredouillés en français et d'une déclaration d'amour adressée à Juliette Binoche, sa partenaire dans le film. « Vous êtes celle que j'aime le plus au monde. Merci pour ce trophée. Ce soir, je suis la plus heureuse, » a-t-elle dit avec une phrase au laser, glacé, précis, asséné au rythme d'une kalachnikov, et cette voix basse est devenue sa signature. Une prestation brève suivie d'une pirouette, et hop ! dans les coulisses avant de repartir pour une nouvelle aventure, celle des Oscars, où elle allait soutenir Julianne Moore, avec qui elle partage l'affiche du film « Still Alice. »
Deux rôles curieusement similaires. « Deux rôles de béquille, » suggère Kristen. « J'aime aider. Je ne suis pas un leader, mais un supporter. » Dans le film d'Assayas, elle incarne le rôle de l'assistance d'une star vieillissante à qui elle sert de répétitrice, de compagne, de confidente, de soutien. Dans « Still Alice, » elle est celle qui abandonne ses rêves de théâtre pour s'occuper de sa mère atteinte d'un Alzheimer précoce. « Ces deux personnes sont des personnages de femmes qui grandissent et qui me font grandir. Avec Juliette, j'assiste une actrice pleine de doutes, confrontée à la génération montante des jeunes comédiennes brutales et plutôt irrespectueuses. Avec Julianne, je prends conscience de la fragilité des choses. Je me rends compte, avec ce personnage, que rien n'est jamais acquis et qu'en une seconde un tsunami peut modifier la donne. Le tsunami, c'est la maladie irréversible qui s'abat sur une mère de cinquante ans qui en plus est une brillante intellectuelle. Moi, dans le film, je suis la plus forte, je suis celle qui s'adapte le plus vite à cette situation, acceptant de renoncer à ma carrière pour m'occuper de ma mère. Si je le fais, c'est davantage par nécessité que par devoir. C'est pour continuer à pouvoir me regarder dans la glace. »
Et où Kristen trouve-t-elle, dans sa si jeune tête d'enfant préservée par la vie, ce qui va l'aider à incarner différents rôles ? « Je pense à Sean Penn, qui a réalisé « Into The Wild, » dans lequel je jouais le rôle de Tracy. C'est lui qui m'a appris comment se donner émotionnellement à fond dans un personnage, en allant chercher en soi ce qu'on imagine ne pas pouvoir trouver. C'est lui qui m'a montré comment un rôle pouvait être l'initiation à l'introspection. C'est lui qui m'a suggéré que le cinéma pouvait amener une sorte de spiritualité et que le métier d'acteur pouvait être plus qu'un simple job : qu'il pouvait changer la vie. »

JODIE, CHARLIZE ET JULIETTE
Kristen Stewart a été accompagnée dans sa jeune carrière par des acteurs et réalisateurs d'envergure qui l'ont aidée à se construire. Il y a eu Jodie Foster, mère divorcée dans « Panic Room, » de David Fincher. Kristen, douze ans à l'époque, incarne le rôle de sa fille diabétique. « Ma chance à ce moment-là a été de ne pas me montrer très à la hauteur. Jodie Foster m'a encouragée, m'a prise sous son aile, m'a montré le chemin et surtout m'a donné ce qu'il y a de plus précieux dans ce métier : une leçon d'humilité. Elle me répétait qu'un comédien est d'abord un outil au service du film. » Il a eu « Speak, » de Jessica Sharzer, où elle jouait le rôle d'une ado traumatisée par un viol. « Là, je n'ai pas joué, j'ai carrément rendu mes tripes, » dit-elle. Charlize Theron, dans « Blanche Neige et le Chasseur, » a bien voulu être sa confidente. « Charlize, c'est simple, elle est la perfection. Quand elle débarque dans une pièce, vous ne voyez qu'elle. » Et, bien sûr, Juliette Binoche. « J'avais les jambes en coton la première fois que je l'ai vue. Elle a cette capacité que je redoute : vous déshabillez et découvrir en vous exactement ce que vous n'avez pas envie qu'elle voie. » À venir, cinq films, dont un projet avec Woody Allen, et surtout, dit-elle, « de longues vacances. »

Madame Figaro [Mars 2015]
UN PHÉNOMÈNE GÉNÉRATIONNEL
Avec de telles partenaires, la jeune femme a très vite appris. « Je n'avais pas le choix. Je les ai observées. Sur un tournage, Juliette travaille ses rôles sans arrêt, lit, discute, analyse, compare. Julianne Moore est davantage dans l'introspection. Et moi, au milieu de tout ça, j'essayais de m'alléger, d'enlever peu à peu des épaisseurs qui m'engonçaient pour aller au coeur du sujet et trouver le moyen d'être rigoureuse sans perdre ma spontanéité. »
Kristen Stewart est un roc. Elle ressemble à son personnage de Bella Swan dans la « Saga Twilight : » robuste, guerrière, prête à affronter des monstres trois fois plus gros qu'elle. Ajoutons à cette présence immédiate la puissante critique d'une jeune femme qui se donne le droit, du haut de ses vingt-quatre ans, d'affirmer des choses, à commencer par ses doutes et ses contradictions : « Si j'ai aimé « Sils Maria, » c'est parce que j'aime les films qui parlent de cinéma. Et j'ai aimé la façon dont Olivier Assayas a mis en évidence le côté ridicule de ces actrices tellement narcissiques. J'adore mon métier. Je serais prête à mourir pour lui. J'ai toujours voulu être comédienne, mais ce n'est pas non plus la peine d'en faire toute une histoire... Ce que je veux dire, c'est qu'il faut le faire pour soi, pas pour les autres. Aujourd'hui, la célébrité est considérée comme plus sexy que le bonheur. Ça n'a pas de sens, n'est-ce pas ? » À l'école, on l'appelait « le Mur. » elle était silencieuse, souffrait d'hyperactivité et de troubles de l'attention. La petite fille ne s'intégrait pas. À treize ans, elle quitte l'école, suit des cours par correspondance et s'adonne à la cuisine. « Si je n'étais pas devenue comédienne, j'aurais été une championne aux fourneaux, » dit-elle. Il y avait peu de chances que cela arrive. Le cinéma la happe au berceau. Sa mère est scripte, et son père régisseur. Lorsque Kristen dit à ses parents qu'elle veut devenir comédienne, sa mère la met en garde : « Je les connais, ces gamins qui font du cinéma. Ils finissent par devenir fous... » « Mais moi, je ne suis pas devenue folle, » précise Kristen.
Elle avait pourtant tout pour le devenir. À la sortie du premier « Twilight 1 : Fascination, » elle a dix-huit ans et devient en un instant presque aussi connue que les Beattles. Un phénomène générationnel. Sa vie est passée au tamis. Son boyfriend s'appelle Robert Pattinson. Ses fans se comptent par milliers. Par un tweet qui ne parle pas de ses amours. « C'était stupéfiant, » se souvient-elle. « Depuis, je me méfie de la technologie... »
Alors ? Plus rien ne filtre sur sa vie privée. Les tabloïds prétendent qu'elle vit avec sa meilleure amie. C'est sans importance. À la question « Qui est aujourd'hui votre lover ? » la réponse est mécanique : « Pas de commentaires. »

LE SUPERSEXY, C'EST RINGARD...
Elle se réfugie dans des films qu'elle choisit avec soin. Toujours des rôles à fleur de peau qui mettent en valeur sa noirceur rimbaldienne. « J'aime prendre des risques, » dit-elle. Jouer dans un film français en était-il un ? « Pas vraiment. C'était un pari très contrôlé. Et puis j'aime le cinéma français, parce qu'il laisse la part belle à l'imagination, à la spontanéité, à l'audace. En France, quand vous commencez un film, vous ne vous demandez pas s'il va marcher avant même de l'avoir terminé. Le film est porté par un désir plus fort que la logique économique. J'aime cette attitude qui consiste à accepter une part d'imprévu et de poésie et que vous retrouvez souvent dans le monde la monde. C'est pour cela que j'aime et respecte tant Karl Lagerfeld. Ce n'est pas un idéologue de la mode, mais un visionnaire sensible. Il a fait de Chanel un maison rock et il pense, comme moi, que le supersexy est ringard. Nous nous entendons très bien... » Sans même le vouloir, l'ultramoderne Kristen Stewart est devenue une bête de mode. Cela aussi c'est fait tout naturellement.
 
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Tags : Photoshoot, 2015, Madame Figaro, The Saga Twilight, Bella Swan, Bella Swan Cullen, Sils Maria / The Clouds of Sils Maria, Valentine, Olivier Assayas, Égérie Chanel, Still Alice, Lydia Howland, Look vestimentaire, Hollywood, Meilleure Actrice dans un Second Rôle, César, 40ème Cérémonie des César, Théatre Châtelet, Juliette Binoche, Maria Enders, Oscars, 87ème Cérémonie des Oscars, Julianne Moore, Alice Howland, Sean Penn, Into The Wild, Tracy Trado, Jodie Foster, Panic Room, Sarah Altman, David Fincher, Speak, Jessica Sharzer, Melinda Sordino, Snow White And The Huntsman (Blanche Neige et le Chasseur), Charlize Theron, Ravenna, Blanche Neige, Woody Allen, Jules Mann-Stewart (MamanStew), John Stewart (PapaStew), Twilight 1 : Fascination, Robert Pattinson, Cinéma Français, Karl Lagerfeld
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#Posté le jeudi 03 mars 2016 12:33

Modifié le vendredi 27 janvier 2017 10:38

Backstage « Sur La Route​ » [Novembre 2012]

(Traduction)

Backstage « Sur La Route​ » [Novembre 2012]
SORTIR DES TÉNÈBRES
LAISSANT SES ANNÉES « SAGA TWILIGHT » DERRIÈRE, KRISTEN STEWART PART « SUR LA
ROUTE. »
 
Par : Jennelle Riley || Photographiée par : Blake Gardner
 
KRISTEN STEWART N'EST PAS CE QUE VOUS POUVEZ PENSER QU'ELLE EST, DEPUIS SA CARRIÈRE montée en flèche dans la stratosphère avec le premier de la « Saga Twilight » en 2008, Stewart a souvent été dépeint dans les médias entêtés, intensément privés et mal à l'aise avec le fait de donner des interviews. Mais passez quelques minutes avec les vingt-deux ans, et ça devient évident que rien ne peut être plus loin de la vérité. Assise dans le coin d'un restaurant de l'hôtel Beverly Hills dans un simple T-shirt blanc et une casquette de baseball juste quelques jours avec la sortie du volet final de la « Saga Twilight. » « Twilight 5 : Révélation 2, » Stewart semble à l'aise.
Elle est réfléchie et chaleureuse, en dépit de nous n'avoir rencontré qu'une seule fois en passant six semaines plus tôt, elle reconnaît instantanément et salue son interview avec une étreinte amicale. Elle a un sens aigu de l'humour. Et, pour le compte rendu, « J'aime bien donner des interviews ! » Elle dit, « Étant donné que je peux parler à une centaine de personnes ou plus lors d'une press junket, à un moment donné il y avoir quelque d'éduqué qui me fait voir des choses que je n'ai jamais considérées. C'est fascinant de parler à tant de gens de l'une des choses les plus importantes de votre vie. »
Stewart est aussi une actrice, et bonne à ça, un fait qui semble se perdre dans toute l'attention médiatique consacrée à sa vie personnelle. Mais avant la « Saga Twilight, » son talent était évident pour les goûts de David Fincher, qui a auditionné Stewart à l'âge de dix ans pour jouer la fille de Jodie Foster dans « Panic Room, » et Sean Penn, qui l'a choisie pour apparaître dans son film « Into The Wild. » Il y a aussi ses virages acclamés dans les indies « Speak » et comme une jeune femme avec un trouble neurologique en 2007 « The Cake Eaters, » une performance si convaincante les gens demanderaient toujours à la réalisatrice Mary Stuart Masterson où elle avait trouvé une actrice avec la maladie réelle. Le mois prochain verra Stewart dans l'un de ses rôles les plus difficiles à ce jour, comme seize ans, l'esprit libre Marylou dans « Sur La Route, » l'adaptation écran du roman bien-aimé du réalisateur Walter Salles.
Stewart a réellement rencontré Salles en 2007 après que le réalisateur ait pris sa performance comme une adolescente mélancolique dans « Into The Wild, » mais il a fallu plusieurs années pour que le film soit réalisé. Il est temps que Stewart soit reconnaissante. « Le rôle était tellement au-dessus de moi à ce moment-là, » dit-elle. « J'aimais le personnage et j'aurais des services de la profession pour m'impliquer dans ce film, mais je me suis éloignée en secouant parce que je pensais. ''Oh, mon Dieu. Je pense que je vais aller chercher le travail, et je ne sais pas si je peux le faire !'' »
En jouant un personnage aussi désinhibé que Marylou, qui vivre une romance avec son petit ami, Dean [Garrett Hedlund], et le protagoniste du film, Sal Paradise [Sam Riley], a exigé de Stewart d'être exposée, au sens figuré et littérale. La nudité n'a pas intimidé Stewart, qui a joué une stripteaseuse en 2010 dans « Welcome To The Rileys, » bien qu'elle savait que c'était quelque chose que les médias s'y accrocheraient, en anticipant les titres comme « La Gentille Fille de la « Saga Twilight » se met à nue ! » dit Stewart, « Je sais que c'est une chose bizarre à dire, mais ça ne m'a pas inquiété, j'aime vraiment faire le mur. Je ne voulais pas me cacher, surtout en tant que Marylou - c'est la dernière personne qui se cacherait. » Comme il s'avère, c'était une scène de danse simple qui effrayait le plus Stewart. « Mais quand j'avais des doutes, je pouvais parler à Walter, et toutes mes appréhensions s'en allaient, » dit-elle. Elle commence louanger son réalisateur en longueur avant de s'arrêter et de dire : « Que puis-je dire ? Il est p***** génial. »
Salles n'a que des paroles aimables pour Stewart en retour. « Kristen est une actrice sérieusement talentueuse qui nous surprendre à plusieurs reprises à l'avenir, » dit le réalisateur lors d'un appel téléphonique du Brésil. « Elle a la possibilité de faire à peu près tout ce qu'elle veut, et elle opte pour des rôles qui sont des choix très courageux - des personnages que vous ne pourriez pas attendre de son jeu. »
Alors que « Sur La Route » pourrait ressembler à une tentative de se détacher de son image « Saga Twilight, » c'est une autre idée fausse au sujet de Stewart ; contrairement à de nombreux acteurs associés à une franchise populaire, elle n'est pas intéressée par le fait de mettre Bella Swan derrière elle. « D'autres personnes essaient de m'éloigner d'elle, mais pas moi, » dit-elle. « Je l'ai déjà dit cent fois : J'aime Bella. »
À cette fin, elle admet être frustrée quand les gens étiquettent le personnage comme faible ou passif ; ça semble un argument défectueux, considèrent combien de fois Bella fait l'action qui met en danger sa vie pour lutter pour ce qu'elle aime. « Si Edward et Bella passaient d'un endroit à l'autre, il serait considéré comme quelqu'un à admirer, quelqu'un qui met tout en ligne, » dit-elle. « Il faut une personne aussi forte pour vous soumettre complètement à quelque chose et vous donner sur quelque chose de si entier. Il s'agit d'une relation égale, ils donnent tous deux le même équivalent, alors pourquoi est-elle condamnée pour ça ? Je ne comprends pas. »
Outre le blockbuster de cette année, « Blanche Neige & Le Chasseur, » Stewart a gravité en grande partie un voyage indépendant en les films de la « Saga Twilight, » comme jouer Joan Jett dans « The Runaways » ou tenir son propre opposée Melissa Leo et James Gandolfini dans « Rileys. » Mais la « Saga Twilight » a beaucoup plus en commun avec ces indies décousus que les gens pensent ; le premier film n'a pas été un succès garanti, juste un film modeste budgétisé avec des acteurs inconnus d'un studio non-prouvé. « C'est drôle comment les gens oublient ça, » dit Stewart. « Si je n'ai pas l'air exaltée sur une photo paparazzi, les gens disent, ''Eh bien, vous avez signé pour ça !'' Eh bien... Pas vraiment, d'accord ? » Stewart peut préciser le moment où elle a commencé à réaliser ce que le film deviendrait. « C'était au Comic-Con, quand on nous a littéralement frappé avec l'énergie de six milles personnage comme un mur en briques dans le visage. C'était le moment où j'étais comme, ''Qu'est-ce que ça va être ?'' »
Personne n'aurait pu anticiper le phénomène qu'il deviendrait, sans parler de Stewart, qui essaie de prendre le contrôle et l'attention à grandes foulées. Ce qui nous amène à « Cinquante Nuances de Grey, » le phénomène érotique publié qui a commencé comme la fan fiction « Saga Twilight. » Est-ce que Stewart l'a lu ? « Pas vraiment - j'ai trié des parties de celui-ci, » dit-elle. « Quand j'ai lu les premières pages décrivant ses cheveux en désordre, j'étais comme, ''C'est si bizarre.'' » Stewart ne peut résister à un rire désinhibé, ajoutant. « Mais c'est tellement torride ! Je veux dire, évidemment, tout le monde le sait. Mais quand je vois des gens le lire dans des avion et des choses, je suis vraiment effrayée. Comme, vous êtes essentiellement juste en train de lire de la pornographie en ce moment ! Sortez cette couverture de vox genoux ! »
 
[ARTICLE JUSTE A KIFFER !!!!]
Tags : Portrait, 2012, Backstage Magazine, The Saga Twilight, Bella Swan, Bella Swan Cullen, Bella Swan (Vampire), On the Road (Sur la Route), Walter Salles, Marylou/LuAnne Henderson, Twilight 1 : Fascination, Twilight 5 : Révélation, Panic Room, David Fincher, Sarah Altman, Jodie Foster, Meg Altman, Into The Wild, Sean Penn, Tracy Trado, Speak, Jessica Sharzer, Melinda Sordino, The Cake Eaters, Mary Stuart Masterson, Georgia, Garrett Hedlund, Dean Moriarty/Neal Cassady, Sam Riley, Sal Paradise/Jack Kerouac, Welcome to the Riley, Jake Scott, Mallory/Allison, Brésil, entretien téléphonique, Snow White And The Huntsman (Blanche Neige et le Chasseur), Rupert Sanders, Blanche-Neige, The Runaways, Flora Sigismondi, Joan Jett, James Gandolfini, Doug Riley, Melissa Leo, Loïs Riley, Comic Con International San Diego, Cinquante Nuances de Grey
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#Posté le jeudi 29 novembre 2012 08:37

Modifié le vendredi 27 janvier 2017 05:30

Vogue Italia

→ Vogue Italia :

Vogue Italia
« Sur le plateau de tournage, je fais ce qu'il faut faire, mais au jour le jour... La chose importante est d'avoir clairement à l'esprit que jouer est un métier comme un autre. Un travail qui vous donne la possibilité de se réinventer en permanence, pour découvrir de nouvelles émotions et s'exprimer. »
 
Par : Barbara Zarzoli || Photographiée par : Matthias Virens-McGrath 
 
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Je me demande combien aimeraient être à ma place, je pense, tandis que retentit le son l'interphone dans l'appartement londonien de Kristen. Pour tous ceux dans la vingtaine, et pas seulement, elle est un mythe. La « Saga Twilight, » qui lui a donné sa notoriété mondiale, a terminé en superposant l'actrice au personnage. Elle, est par conséquent, presque tous : a commencé à jouer quand elle était une enfant [« Mes parents, à la fois au cinéma et à la télévision, m'emmenaient avec eux pour travailler, où j'ai vu jouer des personnes de tout âge, même des enfants : J'ai su tout de suite que je voulais le faire aussi. »] plutôt réservée, pour rien au monde, et préfère une bonne lecture à une fête. Ce que je ne sais pas encore, peut-être, c'est que quand elle est sur le plateau de tournage elle aime faire des blagues à l'équipe. [« Il y a tellement de temps libre, alors je dois me divertir en quelque sorte ! »], et que elle pouvait être téléportée comme le Capitaine Kirk de l'Enterprise, elle irait dans le temps : « Aux alentours de 1948-1950, pour écouter le jazz, le blues et le bebop de la Beat Generation. » Son conte de fées préféré ? « Le Livre de la Jungle. » Et, en parlant de contes de fées, Kristen est à Londres pour le tournage de « Blanche Neige et le Chasseur »  [adaptation du conte de fées de Blanche Neige dans lequel, en fait, elle joue le rôle.]. « Oui, mais une Blanche Neige très originale, une guerrière en armure, » clarifie-t-elle rapidement. Cependant, je constate que, selon quelques photos prises sur le tournage de l'actrice sur une place au Pays de Galles à travers les vagues, vêtue d'une robe qui rendrait toute fille folle. « Ah oui, voilà la scène où je me sauve enfin après mon évasion de la prison de la Méchante Reine. J'adore cette robe, elle est belle ! La porter m'était utile pour entrer dans le personnage. Le poids du tissu mouillé, par exemple, m'a fait comprendre les difficultés que Blanche Neige doit affronter pour échapper à son destin. Même les cheveux sont indispensables pour ce rôle, » explique en agitant la longue tresse. « Ce sont des extensions. Mes cheveux sont plus courts, ils arrivent plus ou moins derrière. Même la couleur n'est pas la mienne. Depuis que je joue, je n'ai jamais eu ma couleur naturelle, qui est brun clair. Mais ça va, c'est amusant de se voir dans le miroir. » Revenant aux vêtements, elle ajoute : « Je tiens à porter des vêtements très féminins, mais, dans la vie de tous les jours, quand je suis à Los Angeles, à la maison, je préfère le confort. Quand je pars loin, comme dans ce cas, j'emporte des vêtements de toute sorte, aussi pour la soirée, parce je pense que peut-être l'occasion de les mettre peut arriver. » Qui sait combien de temps il faudra pour faire les valises, je demande. « En, je suis très organisée. J'ouvre juste mon placard et je choisis. Mais voyez-vous, si je suis amenée à faire de nombreux changements, ça finit toujours comme ça : débardeurs, jeans et basket, » dit-elle en se levant et en montrant les vêtements qu'elle porte. Cependant, dans son cas, compte tenu de la beauté, ce n'est pas la robe pour faire le monaco. « Je suis maigre par nature. Dans ma famille, nous le sommes tellement, donc je ne suis pas obligée de faire du sport ou des régimes spéciaux. Je fais tous les mouvements sur le plateau de tournage. Dans ce période, par exemple, pour faire « Blanche Neige » je suis toujours en mouvement : courir, sauter, se battre avec une épée, monter à cheval..., » dit-elle en agitant sa main droite où se trouve une petite atèle. « Regardez, je me suis également blessée ! Mais c'est rien de grave. » C'est incroyable de voir l'énergie et l'enthousiasme dans les yeux et sur le visage de la star, le plus candide que je connaisse. « C'est vrai, l'enthousiasme ne me manquait pas. Si il y a une chose à faire, je me dis : " Venez, qu'est-ce que nous attendons ? Faisons-le !, " parce que je suis impatiente de commencer. Cette façon de faire les choses m'aide pour toujours avoir un haut niveau d'énergie.
 
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J'aime m'investir dans de nouveaux projets. » Quelle sera alors votre prochaine aventure ? « Pour l'instant, rien n'est certain. Je vais saisir cette occasion pour retourner à la maison, dans ma famille, pour profiter un peu de temps libre. Ce son mes vacances idéales. J'ai parcouru le monde pour le travail, souvent je ne savais même pas où je me trouvais. J'aime voyager, mais maintenant je dois recharger mes batteries. » Déjà, pour plonger encore une fois sur le plateau de tournage, où il engage avec tout d'elle-même. « Je ne suis pas une de ces actrices qui se préparent comme une maniaque pour un rôle. Sur le plateau de tournage, je fais ce qu'il faut faire, mais au jour le jour. Si il faut soudain improviser, si il faut apprendre par coeur des répliques je le fais. Certains scénarios sont si beaux qu'ils ne demandent plus qu'à être répétés en tant que tels. Donc vivre directement le moment. » Vingt-et-un ans et déjà elle peut vivre dans le présent, ici et maintenant. « Pourquoi s'inquiéter en premier ? Le mien est un excellent travail et je tiens à l'apprécier pleinement. Vu de l'extérieur, ça ressemble à un conte de fées, et peut-être que ça l'est ; mais derrière, il y a beaucoup d'efforts et de sacrifices. Moi, par exemple, j'aime dormir, mais chaque matin je dois me lever très tôt pour aller sur le plateau de tournage. Donc surmonter la paresse, je me lève et vais travailler heureuse. La chose importante est d'avoir clairement à l'esprit que jouer est un métier comme un autre. Un travail qui vous donne la possibilité de se réinventer en permanence, pour découvrir de nouvelles émotions et s'exprimer, mais qui ne vous rende certainement pas différent ou spécial. Quoiqu'il en soit, je sais que je suis chanceuse, car c'est incroyable ce qu'il se passe quand vous jouez. Parfois vous êtes tellement dans le personnage et l'histoire, que vous risquez presque de vous y perdre. Ça m'est arrivée sur le tournage de « Speak » [2004, basé du roman de Laurie Halse Anderson, réalisé par Jessica Scharzer.]. j'interprétais une jeune fille introvertie qui décide de ne plus parler à personne. Son silence est un mécanisme de défense face aux autres : ses camarades de classe, les enseignants, la famille et elle-même. Au final, c'était difficile de sortir de ce confortable silence que j'avais créé en moi. Avec le silence vient la paix et même les pensées sont plus ordonnées, c'est quelque chose d'extraordinaire et d'inexplicable. Même avec « Sur La Route » [adaptation du roman de Jack Kerouac à venir en 2012], dans lequel je joue Marylou, j'ai vécu quelque d'intéressant : J'ai exploré la liberté de vivre vraiment « sur la route » mentalement et physiquement. C'est ce dont je parle, c'est la magie de jouer. » Si il y avait un génie dans une lampe, quel souhait aimeriez-vous faire Kristen ? « Oh mon dieu, je ne parle pas de ma liste de souhaits !, » exclame-t-elle en riant. « Quand je suis en face du gâteau d'anniversaire avec les bougies allumées, et tous me rappellent de faire un v½u, je suis en chute libre. Je me demande, " Qu'est-ce que je veux ?, " et je ne pense à rien. Alors je ferme les yeux, prends une grande inspiration, et le souhait émerge. Je ne peux pas bien expliquer ce qui se passe à l'intérieur de moi, mais c'est comme : " La respiration est la clé pour comprendre ce dont je me soucie vraiment. " Beaucoup de demandes pour le travail, souvent intéressantes. Vraiment , je ne sais pas quoi souhaiter de plus... Je n'ai même pas un rôle particulier que je voudrais interpréter ou un réalisateur, avec qui je voudrais travailler... Je laisse les choses se passer. » Je dis que nous avons terminé. Tandis qu'elle ouvre le réfrigérateur et prend une bouteille d'eau, nous avons parlé de choses et d'autres. Puis je prends la porte, appelle l'ascenseur, il arrive également. Mais il s'arrête en bas. Alors que nous nous disons au revoir avec l'espoir de se revoir bientôt, les portes se ferment comme dans « Pile et Face. » Une fin de film.
 
[ARTICLE JUSTE A KIFFER !!!!]
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#Posté le mercredi 17 août 2011 09:36

Modifié le dimanche 14 février 2016 08:15

USA Today « Adventureland : Un Job à Éviter » & « Twilight 2 : Tentation​ »

(Traduction)
 
Kristen Stewart : Certaines personnes pensent qu'ils la connaissent, mais...
 
SANTA MONICA, Californie - Il était plus facile de vivre une vie secrète grandissante.

Vous pouvez quitter la maison, disparaître du radar, avec des cercles différents d'amis, et passer ce temps caché à déterminer qui vous êtes. Maintenant, chaque geste, chaque erreur, chaque changement de personnalité est sur Twitter, Facebook, Myspace, par message et suivi par un réseau élaboré de téléphones cellulaires et de sites web.
C'est ainsi que Kristen Stewart le voit. Elle est devenue intransigeante dans le balbutiement électronique quand elle est devenue une superstar l'année dernière en interprétant la languissante bonne-fille face au vampire éteint Edward [Robert Pattinson] dans « Twilight 1 : Fascination, » l'adaptation blockbuster des romans best-seller.
USA Today « Adventureland : Un Job à Éviter » & « Twilight 2 : Tentation​ »L'actrice, âgée de dix-huit ans, arrive à explorer ce que sa vie aurait pu être la pose basse, il y a une génération dans « Adventureland : Un Job à Éviter, » qui sort vendredi.
La comédie « coming-of-age » sur une fille et un gars qui tombent amoureux tout en travaillant pendant l'été dans un parc d'attractions délabré crée en 1987 - trois ans avant la naissance de Stewart.
Les personnages adolescents boivent, fument de mauvaises herbes, mentent à tout le monde [surtout les membres du sexe opposé] et font de leur mieux pour éviter l'abstinence [habituellement une raison pour le mensonge].
« Des films comme « Adventureland : Un Job à Éviter » vous rappellent le temps dont mes parents parlent quand ils étaient plus jeunes, quand il semble qu'ils étaient tellement plus indépendants, » dit Stewart, assise dans un restaurant près de la plage, le dos à l'océan. « Mon père vivait seul quand il avait dix-huit ans. Ma mère était partie [de la maison] avant même d'être diplômée d'études secondaires. Parfois, elle veut leur demander, ''Dieu, vous vous rendez compte -'' »
Ses parents sont tous deux entrés dans l'industrie du spectacle, travaillant dans les coulisses. Sa mère, Jules Mann-Stewart, est superviseur de scénario, et son père, John, est producteur et metteur en scène. Elle a aussi un frère aîné, Cameron.
Les parents d'aujourd'hui, dit-elle, « sont incroyablement pratique. » Puis, elle est prompte à clarifier : « Ce n'est pas que mes parents sont autoritaires ou quoique ce soit... Maintenant, c'est un peu différent parce que je vieillis, mais il y a quelques années, si mes parents ne savaient pas où j'étais à un moment donné, c'est une sorte d'inacceptabilité. Et c'est très facile de vous suivre, tout compte fait. »
Ce n'est pas seulement le parentalisme toujours présent qui rend la croissance plus difficile. Ce sont vos amis et vous-même, dit-elle. Tout le monde est complice de sa propre surveillance, surtout des jeunes, qui font une chronique obsessionnelle de leur vie, cherchant peut-être une validation, ce qui n'est toujours pas facile à trouver.

« Tout le monde sait qui vous êtes »

« Vous êtes tellement lié aux gens et ils savent tous comment vous atteindre, et tout le monde sait qui vous êtes, si explicitement. Ils pensent qu'ils vous connaissent, c'est comme, ''Vous croyez vraiment que vous me connaissez ? Comment savez-vous que je ne suis pas différente avec quelqu'un d'autre ?'' » Sa voix devient un peu bruyante, et elle recule sa chaise.
« Ça rend presque les secrets plus importants, ces quelques choses que vous choisissez de garder pour vous, » dit-elle calmement.
À l'heure actuelle, Stewart peut être la seule véritable adolescente d'Hollywood à interpréter des filles qui sont capricieuses, téméraires, prudemment sexuelles mais toujours maladroites et plus autonomes que beaucoup de parents aimeraient reconnaître.
D'autres célébrités de son âge ont tendance à tomber soit dans le royaume fantaisiste de la variété Hannah Montana/Jonas Brothers, ou jouent des adolescents qui ressemblent plus à des jet-setters établis, comme avec le fou « Gossip Girl. »
Stewart a gagné à la fois des éloges et des critiques pour avoir été une sorte de fille boudeuse à l'écran - le genre que vous pouvez voir dormir jusqu'à midi, entrer dans une bagarre avec ses parents et de s'enfuir, seulement pour essayer de se faufiler furtivement juste après le couvre-feu.

Jeux détournés, amis inadaptés

USA Today « Adventureland : Un Job à Éviter » & « Twilight 2 : Tentation​ »Dans « Adventureland : Un Job à Éviter, » elle est un peu rebelle en interprétant Em, une fille tranquille mais robuste qui travaille l'un des jeux tordus dans le parc à thème. Jesse Eisenberg [« Les Berkman se séparent »] interprète un James éperdu, un camarade d'âme perdue et un esclave à salaire minimum qui essaie de travailler son courage afin de gagner Em comme ils luttent tous les avec des familles fracturées, des amis inadaptés et des amateurs de parcs hostiles.
Alors que James se rapproche d'elle, il découvre qu'il y autant d'Em différentes qu'il y a de pandas géants en peluche dans sa cabine de jeux. « Pour Em, aucune partie de sa vie n'est reliée, » dit Stewart. « Elle est une personne différente dans chacune des circonstances. »
« Adventureland : Un Job à Éviter » a été écrit et dirigé par Greg Mottola [« Superbad, » « The Daytrippers »], qui l'a basé sur ses propres expériences travaillant dans un parc à thème du même nom sur Long Island à New-York.
Il dit que la fille de l'histoire « devait être compliquée et devrait être vraiment en conflit. Nous avions besoin d'une actrice capable de transmettre un sentiment de force vraiment crédible, » dit-il. « Je savais avec Kristen que le personnage ne serait pas juste une gamine. Avec Kristen, on ne peut pas la renvoyer aussi facile. »
Em n'est peut-être pas un rôle modèle, mais l'actrice dit qu'il y a quelque chose de vrai sur elle, et belle, d'une manière le personnage ne réalise même pas. « Ils ne savent pas comment ils sont cools, ils ne se sentent pas dignes, » dit-elle des personnages principaux. « Je pense que c'est une chose assez commune. »
Stewart pour être un cas d'étude. Se sentir digne de l'attention des médias semble être une lutte. Au début de l'interview, elle dit qu'elle est mauvaise à ce sujet - parler de ses films, et d'être-même.
« Vraiment, je suis incroyablement incohérente et pas candide, » dit-elle. « En général, mes pensées tendent à se manifester dans de petites poussées qui ne se relient pas nécessairement. Si vous restez assez longtemps, vous pouvez trouver le chemin linéaire, mais ça prendra une seconde. C'est pourquoi ces interviews ne se passent jamais bien pour moi. »
C'est pour elle a été critiquée par certains journalistes et pourquoi elle avait ce que certains considéraient comme une interview désastreuse avec David Letterman pour la « Saga Twilight. »
Elle a la réputation d'être grincheuse, ou un peu distante. Mais au cours d'environ deux heures, elle révèle une sorte d'insécurité. Elle essaie de dire quelque chose, pense que ça sort mal, s'arrête et recommence, puis finit par être frustrée - et se cramponne.
Une autre chose qui la fait s'arrêter en milieu de phrase : les adolescentes. Un groupe entre dans le restaurant, et Stewart s'arrête brusquement jusqu'à ce qu'elles passent. Elle s'excuse, un peu embarrassée, et murmure : « Si ces types de filles m'ont vu parler de la « Saga Twilight, » vous ne comprenez pas. Si je disais ''Jacob'' trop fort, ils seraient comme » - Elle fait les grands yeux et serre ses mains comme des griffes.
« Plus de trois filles de ce certain âge - s'enfuient, » dit-elle en riant alors que la menace s'installe dans une partie lointaine du patio. « Les filles sont effrayantes. De grands groupes de filles me font peur. »
Elle dit que Pattinson l'aggrave. « Elles le convoitent, je pense que la moitié d'entre elles sont tellement jalouses qu'elles me détestent, » plaisante-t-elle.
Ça n'aide pas que beaucoup de « Twilighters » veulent qu'elle et Pattinson soient un couple de la vie réelle. Elle sort actuellement avec Michael Angarano, vingt-et-un ans, avec qui elle a co-joué dans le drame de 2004, « Speak. »
« Cela ne rend pas ma relation plus difficile. Ce n'est pas comme, ''Peut-être que je devrais être avec [Pattinson] pour les rendre heureux et ça va me rendre plus populaire !'' » rit Stewart, ajoutant que son vrai petit ami « n'est pas un garçon menacé. Mais, mec, ça craint. »

USA Today « Adventureland : Un Job à Éviter » & « Twilight 2 : Tentation​ »Pourquoi l'adoration ?
Mais Stewart est surtout reconnaissante pour la « Saga Twilight » - bien qu'elle ne pense pas qu'elle ait fait quelque chose de spécial.
« Je suis vraiment fière de la « Saga Twilight, » je pense que c'est un bon film, c'était difficile à faire, et je pense que ça s'est très bien passé, mais j'en prends pas le crédit de ça. Donc, quand vous vous présentez à ces endroits, et il y a littéralement comme mille filles et elles sont toutes en train de crier votre nom, vous êtes comme , pourquoi ? Vous n'as pas l'impression que vous le méritez. »
Une personne qui pense que Stewart a beaucoup contribué à Bella est Stephenie Meyer, l'auteure de la « Saga Twilight. » Le personnage est considéré par certains comme trop passif, laissant son amant vampire prendre le contrôle, mais Meyer dit Stewart, actuellement en tournage de la suite de la « Saga » « Twilight 2 : Tentation, » donne au personnage une force intérieure.
« Kristen fait une version de Bella qui est très forte. Et vous pouvez voir que ce qu'elle fait est mûrement pensé, » dit Meyer. « De beaucoup, elle est un peu impétueuse, mais on a l'impression qu'elle est très adulte sur ce qu'elle fait. Elle se présente comme une fille très sérieuse et qui sait ce qu'elle veut. »
Cela décrit également Stewart comme elle navigue sur son chemin à l'âge adulte, à l'écran et hors écran. Contrairement à son personnage d' « Adventureland : Un Job à Éviter, » elle n'est pas capable de cacher tout ça.

STEWART DANS LA LUMIÈRE LONGTEMPS AVEC LA « SAGA TWILIGHT »

Kristen Stewart tourné vers la célébrité avec la « Saga Twilight, » mais elle a été une fille fiable et s½ur pendant des années. Jodie Foster était sa mère dans « Panic Room, » et elle a joué la s½ur aînée dans la comédie de science-fiction « Zathura : Une Aventure Spatiale » et la jolie fille de la caravane dans « Into The Wild. »
Elle tourne actuellement « Twilight 2 : Tentation, » le deuxième film de la « Saga Twilight » [à paraître le 20 Novembre]. Sa Bella et son amour de vampire divisé et le jeune loup-garou Jacob attire son affection dans un triangle amoureux surnaturel.
« Il devient comme son meilleur ami, » dit Stewart du loup-garou. « C'est vraiment triste, Edward n'est probablement pas une très bonne idée pour elle, ce n'est pas le type avec lequel elle devrait être, parce que ce n'est pas très pratique, et puis ce type qui entre et ooohhh. »
Sa partie préférée de « Twilight 2 : Tentation » est le début. « Tout va bien, Edward est là, ils sont glacés, ils sont ensemble, tout le monde est heureux , mais il y a ce sentiment étrange de comme il va aller. Est-ce que quelqu'un a rompu avec vous, et vous savez que ça arrive ? Il y a des semaines passés et vous êtes comme, ''Je suis un idiot, mais je jure à Dieu que quelque chose ne va pas.'' Et puis, les semaines s'écoulent, et ça arrive. C'est horrible. C'est pire. »
On s'attend à ce que « Twilight 2 : Tentation » soit un autre gros producteur d'argent. Un autre atout pour le succès de la « Saga Twilight » est un profil élevé pour les films d'art de Stewart comme « Adventureland : Un Job à Éviter. »
Elle était également dans « The Yellow Handkerchief, » en interprétant une étrangère qui aide un ex-prisonnier auto-stoppeur [William Hurt] se réconcilie avec sa femme, et « Welcome To The Rileys, » comme une enfant de rue/ prostituée qui tombe dans l'attention de parents de substitution [James Gandolfini, Melissa Leo] dont le propre enfant est décédé. Aucun n'a encore de date de sortie.
Plus tard cette année, elle va commencer « The Runaways, » au sujet de punk rockeuses Joan Jett et Cherie Currie [Dakota Fanning, également dans « Twilight 2 : Tentation »], qui comme les adolescentes ont joué le Sunset Strip dans une groupe de filles. Stewart dit, « Aucune de ces rockeuses ne veut que ces filles jouent de la musique, et elles le font de toute façon. Elles se font jeter des bouteilles de bières à la tête et elles sont de vrais badass. »
 
[ARTICLE JUSTE A KIFFER !!!!]
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#Posté le mardi 25 juin 2013 16:05

Modifié le jeudi 16 février 2017 05:05

Allure [Novembre 2009]

(Traduction)

Allure [Novembre 2009] 
Dans les profondeurs : La célébrité la plus réticente du pays, Kristen Stewart,
essaie de s'adapter à sa nouvelle vie glamour.
 
Par : Meghan Daum || Photographiée par : Michael Thompson || Lieu du Shoot : Los Angeles
 
Kristen Stewart est secouée. En retard pour une interview [une heure et demi, pour être précise], ses cheveux un peu sales et un peu emmêlés, elle court dans le salon de thé de l'hôtel Bel-Air comme si elle avait fui une émeute dans la rue. Et d'une certaine manière, elle l'a fait.
« Ok, ça dépasse les limites de l'acceptabilité, » dit Stewart, « je suis complètement et totalement et inacceptablement en retard. »
Glissant dans un kiosque, plaçant son portable et un paquet de « Parliaments » sur la table, elle semble presque inconsolablement agitée, même haletant. Elle s'est perdue, explique-t-elle. En essayant de trouver l'hôtel, elle a désespérément tourné autour. Peu importe qu'elle soit née et élevée à Los Angeles.
« J'ai finalement dû leur demander la direction, » dit-elle en secouant la tête en signe d'incrédulité. « Je me suis littéralement juste mise sur le côté et leur ai demandé. »
Leur ?
« Les paparazzis, » clarifie--t-elle. « Il y avait cinq d'entre eux qui me suivaient dans des SUV. Je me suis arrêtée et ai demandé aux p***** de paparazzis la direction. Je ne peux pas croire la folie qu'est ma vie. »
Depuis la sortie de « Twilight 1 : Fascination, » le méga film de vampires romantique basé sur la série follement populaire de romans, la série de romans follement populaire, la vie de Stewart a été à peu indiscutablement démentielle. Les magazines tabloïds et les blogs de potins ont fait sur elle en fourrage constant, et les photographes, la suive partout où elle va. Ils ont installé un camp devant sa maison. Faîtes que la maison de ses parents. À dix-neuf ans, Stewart a récemment trouver sa propre maison, mais se réfère à la place de ses gens, dans la Vallée de San Fernando, comme « maison. »
« Je reste dans ma nouvelle maison jusqu'à ce que je manque de nourriture, » dit-elle. « Alors je rentre à la maison, ils ne peuvent pas à la porte, mais ils peuvent bombarder vos fenêtres et être pleinement dans leurs droits. Vous devez vous assurer que vos fenêtres sont fermées. En ce moment, il y en a quinze d'entre eux. »
Pour récapituler, ce que Kristen Stewart dit « eux, » elle veut dire les paparazzis : les quinze photographes qui sont installés dans le jardin de ses parents, bien que plusieurs d'entre eux soient garés à l'extérieur du Bel Air attendant qu'elle sorte. Et voici un autre mot pour lequel la définition de Stewart peut différer de la norme : « les gens. »
« Quand je dis "les gens,'' je veux dire ''les blogueurs,''» dit-elle. « Et les commentaires [Internet]. Les commentaires sont généralement pires que les blogueurs. Je sais ce que les gens disent de moi. Lorsque je rentrerais de cet interview, je vais regarder et voir à quel idiot je ressemblais en me perdant. Vous pouvez simplement taper sur Google « Kristen Stewart, perdue, demande la direction. » Où mettre la date. Je ne peux pas croire que je donne la façon pour me googler. »
Stewart ne dit pas pourquoi elle se google elle-même, mais étant donné les forces de la curiosité et a conscience de soi qui sont clairement en guerre en elle, vous avez le sentiment qu'elle ne peut juste pas l'aider. Et, comme prévu, une recherche d'image de cette date génère une chaîne de photos pratiquement identiques, notamment banales de l'après-midi : Stewart, susmentionnés portable et paquet de cigarettes à la main, marchant sur un parking ; Stewart montant un escalier dehors ; et, oui, Stewart a un regard timide et confus derrière le volant de sa Mini Cooper noire. Et, en effet, « les gens » ont beaucoup d'opinions à son sujet, pas tous gentils. Un échantillon aléatoire :
« J'adore Kristen !! Elle est comme mon actrice favorite et pas seulement à cause de la « Saga Twilight ! » Elle est Rock j'aimerais traîner avec elle, je souhaite juste qu'elle ne fume pas, mais qui s'en souci ne l'affecte... JE T'AIME KRISTEN ! »
« ... Pour moi elle ressemble à un déchet blanc maladroit... »
« Kristen Stewart a toujours cette coiffure saut du lit. J'aime ça, c'est sexy. »
« CURIEUX ! »
Ce n'était pas toujours ainsi. Avant le 21 Novembre 2008, le jour de la première sortie de la version écran de la « Saga Twilight » a frappé les cinémas [le second, « Twilight 2 : Tentation, » arrive ce mois-ci] et des légions de fans de longue date ont fait de Stewart une star du jour au lendemain, elle était juste une bien-lavée haut-et-arrivante. Une ancienne enfant actrice qui était à ce moment-là en pleine transition vers des rôles plus mûrs, si relativement peu du profil, Stewart a une combinaison de tomboys sexy à côté et insouciant « hipster » qui lui fait un départ rafraîchissant de l'adolescence bruyante de la plupart des actrices de son âge. Dans ou hors du personnage, elle est beaucoup plus susceptible de porter des jeans et un sweet à capuche que montrer ses jambes ou dénuer tout clivage. Sa voix et manières sont tout aussi faibles ; à l'écran, elle peut être si sèche et sans émotion qu'elle donne parfois l'impression de ne pas jouer du tout.
Allure [Novembre 2009]Si sa trajectoire professionnelle avait tourné différemment, ces qualités pouvaient l'avoir conduite sur la voie de Reine des Indies - une Parker Posey plus laconique. Mais comme c'est arrivé, Stewart a été choisie dans une franchise gros budget qui, grâce à l'héritage des romans, avait un énorme auditoire intégré qui est instantanément devenu plus énorme. Bien que Stewart ait été parfaitement choisie comme Bella Swan, la lycéenne tranquille auto-posé qui tombe sous l'influence d'Edward, un vampire de cent huit ans qui habite le corps d'un adolescent beau mais légèrement anémique [Robert Pattinson], elle est significativement moins à l'aise dans son rôle de la vie réelle comme idole de l'adolescent. Et avec la sortie de « Twilight 2 : Tentation, » elle est préparée pour une nouvelle vague de pandémonium.
« Les personnes de tchat m'ont dit [quand j'ai signé pour être dans la « Saga Twilight »] qu'il aurait beaucoup de fans filles, les gens qui aiment les livres, » dit Stewart, son vernis noir contraste avec les sandwiches du salon de thé qu'elle mange. « Et qu'elles seraient obsédées, et j'aurais beaucoup de conflits et beaucoup d'éloges, aussi. Mais les gens ne vous disent pas que tant que vous vivez à Los Angeles, c'est un spectacle chaque seconde de votre journée. C'est comme le Kristen Show. Et c'est tellement ennuyeux ! »
« Ennuyeux » est un mot que Stewart utilise beaucoup à propos d'elle-même. Son penchant pour l'auto-dépréciation est compatible avec l'air nonchalant, un peu sombre qui peut rendre ses personnages si attrayants mélancoliquement. Mais pour mémoire, elle est ennuyeuse. Elle a des idées et des préoccupations à propos d'elle et du monde. Elle a fait quelques écrits [« Je ne suis pas conteuse, mais j'aime les mot, j'aime leur effet, » dit-elle], et elle lit des fictions - il y a des jours, Henry Miller. En outre, c'est difficile d'être ennuyeux quand vous êtes assez intelligent pour choisir des rôles intéressants dans les films intéressants [son rôle en tant qu'employée dans un parc d'attraction dans « Adventureland : Un Job à Éviter » du printemps dernier était particulièrement poignant] et joue Joan Jett [dans un costume en cuir noir qui colle à la peau] dans le prochain film « The Runaways. » C'est difficile d'être ennuyeux lorsque vous avez travaillé avec le réalisateur Sean Penn [« Into The Wild »] et Mike Figgis [« La Gorge du Diable »] et quand, à l'âge de onze ans, dans votre deuxième film, vous avez joué la fille d'une actrice légendaire à qui vous êtes souvent comparée, Jodie Foster [« Panic Room »].
Pourtant, une jeune fille de dix-neuf ans qui a quitté l'école en septième année [elle a fait un programme d'étude à domicile avec des tuteurs] et qui, d'après son propre aveu, n'est pas bonne en parlant d'elle-même peut avoir quelques difficultés à parler de sa vie scintillante.et la tendance naturelle de Stewart à bafouiller ses mots, à se voûter et recommencer les phrases en plein milieu, n'a pas contribué à sa réputation de réticence maladroite. Tout en acceptant son prix de « Meilleure Performance Féminine » aux MTV Movie Awards en Juin dernier, elle a réussi à lâcher son popcorn en or sur la scène, un regard d'horreur traverse son visage en haussant les épaules et dit : « J'étais juste maladroite comme vous pensiez que j'allais être. » Et plus tôt cette année, une apparition chez David Letterman où elle bégayait et balbutiait et a dit quelque au sujet de conduire en Russie [aussi bien que de faire le démenti superficiel, « Je suis vraiment ennuyeuse »] a provoqué une vague de moquerie blogosphérique.
« Apparemment j'étais épuisée par la vitesse ou quelque chose, » dit Stewart de la réaction. « Je me sens comme si j'étais humide et je me suis assise et j'étais comme, ''Hey, comment allez-vous ? Qu'est-ce que vous voulez savoir sur moi ?'' Les gens allaient éteindre leur télévision et se disaient, '''Débarrassez-vous de cette fille.'' »... Il s'agit de ces dix minutes. Vous devez être drôle et mignonne, et vous devez promouvoir le film, et je ne sais pas quoi d'autre. Vous devez avec l'air chaud ou quelque chose comme ça. Je ne sais pas ; je ne sais pas. »
De plus, pour l'enregistrement, Stewart est chaude. Elle a une peau lumineuse, des yeux verts fumeux [« smoky »] [elle portait des lentilles de contacts pour jouer Stewart, qui est décrit dans les libres comme ayant des yeux bruns chocolats], et un corps souple, grand et maigre qui ne nécessite apparemment que peu d'exercice ou de surveillance diététique : « Vous devriez voir mon frère ; il est, comme, décharné. Nous sommes tous les deux juste vraiment maigre, » dit-elle. En ce qui concerne pour quoi certains observateurs de célébrités peuvent être tellement vexés par son refus de jouer par les règles conventionnelles de son visage, le glamour hyper-féminin, la perspicacité de Stewart sur la question est teintée de défiance.
« Je sors dehors, je porte un T-shirt génial et mes cheveux sont sales, et les gens disent : ''Qu'est-ce qui ne va pas avec elle ? Elle a besoin d'investir dans une brosse,'' » Stewart fulmine, sa voix s'élevant au-dessus du calme buzz du salon de thé [intéressant, elle est beaucoup plus animée hors-écran]. « Je suis comme, ''Vous ne comprenez pas ?'' Je ne suis pas cette fille ! Comme, je n'ai jamais été cette fille. Ce n'est pas comme si j'étais vraiment nette l'année dernière. »
 
« Tu es tellement avec Bella, tu es tellement dans ses chaussures, c'est une expérience indirecte,
c'est addictif. »
 
Non, mais il y a un an, elle n'était pas la procuration de millions d'adolescentes [et beaucoup de leurs mères] fantasmes non articulés de l'Éros de la passion vampirique interdite. L'allégorie de la « Saga Twilight » peut avoir plusieurs thèmes incontournables - le divorce, le déménagement, le frisson indicible d'être choisi par le gars que tout le monde veut - mais à sa base, la « Saga Twilight » est sur la dynamique psychosexuelle de la retenue. Si Bella et Edward consomment leur relation, elle risque de se joindre à lui parmi les morts-vivants. Et parce qu'il l'aime trop pour la souiller, et qu'elle assez pour qu'elle soit souillée, leur roman pèse dans ce tendre bonheur entre le possible et l'impossible, le commencement et la fin.
« Il y a beaucoup de choses [de vampires] dedans, mais ça va plus loin, » dit Stewart, qui avoue ne pas avoir été fan des livres avant de signer pour les films. « Mais c'est [plus que] des préliminaires, même si ça marche tellement bien - ça fait un p*****de bon boulot - le renforcement est, genre, ridicule... Vous êtes tellement avec Bella. Vous êtes tellement dans ses chaussures que c'est une expérience indirecte. C'est additif. »
Et c'est ainsi que l'industrie artisanale qui a éclaté autour de la spéculation d'une romance hors écran entre Stewart et Pattinson, vingt-trois ans. Même si elle a longtemps été liée à l'acteur Michael Angarano, vingt-et-un ans, avec qui elle a joué dans le film « Speak » en 2004 d'innombrables médias ont pris une certaine joie en faisant savoir que Pattinson et Stewart animent secrètement l'un pour l'autre mais le retour en arrière par une itération de la vie réelle de leur tabou celluloïd. « Mais ce qu'elle veut vraiment, c'est sont co-star, » a crié une couverture du magazine People avec Pattinson en Juillet dernier. Ce même mois, un tabloïd australien « a rapporté » l'histoire incorrecte que Stewart était enceinte de l'enfant de Pattinson. En effet, sa vie personnelle n'est pas quelque chose dont elle parle, parce que même dans ses formes apocryphes, c'est devenu si fastidieux. Pour elle, de tout façon.
« Je lis cette histoire chaque jour, » dit-elle lorsqu'on lui demande si Angarano est toujours son petit ami et s'il y a une vérité dans les rumeurs sur Pattinson. « C'est dans une histoire tous les jours, alors ne mettons pas dans une autre. » Et avec ça, elle jette un regard imposant presque glacé qui vous fait croire qu'un vampire adolescent pourrait tomber pour elle. C'est également très clair que vous ne devriez pas la presser trop fort sur le sujet de sa vie amoureuse.
Allure [Novembre 2009]Une grande partie de l'auto-définition de Stewart a été taillée de ce qu'elle s'oppose. Elle est prompte à vous dire ce qu'elle n'aime pas et ne peut ou fera pas. Par exemple : une petite discussion [« Vous ne pouvez pas attendre que quiconque arrive en dix minutes pour conversation »], des cours de jeu d'acteurs [« Ça m'a ruiné »], et l'idée d'acteurs mettant en scène des photographes : « C'est la chose la plus vaine au monde de voir comment ils se tiennent devant les paparazzis. »
Demandez-lui pour quoi elle est, à quoi elle aspire et veut de la vie, et Stewart est un peu plus hésitante. Comme beaucoup de personnes de dix-ans d'un certain tempérament, elle a un certain nombre d'idées sur ce qui est « réel » et comment et pourquoi cette « réalité » est si souvent repoussée en faveur de « conneries. » Sa difficulté à échanger dans un « interview parlé » quand il s'agit de films qu'elle se sent passionnée peut la faire paraître indifférente. Cette indifférence peut se traduire dans le personnage trop cool pour l'école, ce qui fait que les gens pensent que Stewart ne s'en fiche pas. En fait, elle s'en fiche d'une grande manière.
« Je passe beaucoup de temps à me prémunir contre l'insincérité, à propos de quelque pour lequel je mourrais, » dit Stewart. « Peut-être que je suis en surcompensation... Je m'inquiète tellement, et c'est rapporté comme le contraire. Et même en le voyant [cet interview], ils seront comme comme ''Oh, elle de nous faire savoir...'' »
La voix de Stewart s'efface. Elle ne sait pas comment terminer la phrase. Elle joue avec ses cheveux et se couvre le visage avec ses mains et se frotte les tempes, comme si ses expressions les plus vraies étaient profondément enfouies sous le détritus des conférences de presse et des opérations photographiques et ce qui la faire des choses comme lâcher son MTV Awards sur la scène.
« Je ne pouvais pas comprendre la situation qu'était ma vie quand ce moment s'est produit, » dit Stewart de l'award. « C'était comme, ''Noooon...'' Tout le monde a dit que c'était si attachant, mais c'était terrible. »
Si une phrase peut encapsuler ce que c'est d'être Kristen Stewart [pas qu'elle approuverait quelque chose de si réductionniste], ça pourrait être celle-ci. Il y a quelque chose d'incroyablement charmant - l'événement enchanteur - au sujet de sa maladresse, son affect inconnu. Mais le manque d'intérêt de Stewart à croire plus glamour que compétent - ou, selon le cas, familier avec les rues de Los Angeles - peut rendre sa vie plus difficile qu'elle ne l'était. Pourtant, quand il s'agit d'avoir dix-neuf ans, les bonnes nouvelles sont les mêmes que les mauvaises. Ça ne dure pas éternellement, Stewart va grandir et, avec un peu de chance, avoir ses repères. Et assez de volonté, peut-être qu'elle arrêtera même de se googler elle-même.
 
[ARTICLE JUSTE A KIFFER !!!!]
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#Posté le mardi 25 juin 2013 16:18

Modifié le mardi 14 février 2017 09:15

Nylon [Mars 2009]

(Traduction)

Nylon [Mars 2009]
Kristen fume à l'extérieur de l'hôtel Roosevelt sur Hollywood Boulevard à Los Angeles. Elle est appuyée contre le bâtiment, ses épaules affaissées, une jambe repliée, son pied contre le mur. Son petit ami, l'acteur Michael Angarano [vingt-quatre ans, « Les Seigneurs de Dogtown »], est debout à côté d'elle, prenant une bouffée de sa propre cigarette. Ils ressemblent à des enfants ennuyés suspendus à une supérette de banlieue, en attendant que quelque chose d'excitant se produise. Un touriste approche.
« Hé, savez-vous où je peux trouver des maisons de célébrités ? » demande la femme, qui est habillée en jeans de maman et tenant un appareil photo. Elle ne reconnaît clairement pas l'actrice. Il y a une pause comme si Stewart et Angarano échangent des regards incertains ; ils ne sont pas les types qui savent où, par exemple, Britney Spears campe ces jours-ci.
« Essayez peut-être ce chemin, » dit Angarano timidement, pointant l'Ouest.
« Je veux vraiment voir où les stars vivent, » persiste la femme.
Stupéfait, il fait signe à Hollywood dans les collines avoisinantes et ironise : « Euh, je pense que Madonna vit là-bas. » Elle les remercie et passe, ne remarquant jamais le visage de Stewart sur le panneau massif « Twilight 1 : Fascination » derrière elle.

Nylon [Mars 2009]
« Ça a été si drôle, » dit Stewart, maintenant dans ma chambre d'hôtel après avoir dit au revoir à Angarano. Fraîche d'une rigoureuse tournée de presse pour « Twilight 1 : Fascination, » elle se prépare à promouvoir un autre projet, « Adventureland : un job à Éviter, » une histoire sincère « coming-of-age » du réalisateur de « Superbad » Greg Mottola. « Littéralement, si nous avions fait deux pas en avant, elle aurait pu faire la corrélation. » Stewart ouvre les rideaux et le soleil de Décembre fait un lit style défait encore désordonné. Mais l'actrice notoirement presse-timide, qui semble soulagée qu'elle n'ait pas été reconnu plus tôt, est très bien avec le désordre ; elle préfère le café d'en bas, qui est très animé avec les bavardages forts et les assiettes carillonnantes de la ruée vers l'heure du déjeuner. Vêtue d'un t-shirt noir, jean skinny et des Chuck Taylor vertes, elle est assise sur le bout du lit, manteau encore, sa jambe monte et descend nerveusement. « C'est rien, » dit-elle en riant, quand je lui signale.
Nylon [Mars 2009] « Habituellement c'est, comme, vraiment ridicule. Je tripote quelque chose, de toute façon, mais surtout avec des trucs comme ça. Je me sens comme si ça pourrait être bien pire si nous étions dans le restaurant. »
L'actrice à la célébrité qui monte en flèche avec son rôle dans « Twilight 1 : Fascination » [Basé sur le livre best-seller de Stephenie Meyer] en tant que Bella, une fille mortelle qui tombe amoureuse d'un vampire fringant joué par Robert Pattinson. Bien que Stewart avait récemment fait un bon nombre d'autres films - « In The Land of Women, » « The Cake Eaters » et « Into The Wild, » parmi eux - ses rôles étaient soit trop petit, ou des projets trop nichés [ou dans le cas de « Les Messagers, » critique trop battée], pour gagner sa large reconnaissance. Mais bien sûr, la « Saga Twilight » est une bête tout à fait différente, celle qui est livrée avec une légion intégrée de jeunes, hurlant, les fans « die-hard. » Les press junkets et les premières pour le film ont submergé Stewart. « Dans n'importe quel endroit où nous allions pour « Twilight 1 : Fascination » c'était une situation psychotique, le son était assourdissant, et c'est irréfléchi, aussi. C'est tellement maniaque que vous êtes juste poussé tiré dedans... » Elle arrête. « Vous avez un tas de toutes ces conneries de questions comme, ''Qu'est-ce que ça fait d'embrasser un vampire ?'' et ''Combien aimez-vous Robert ?'' Ensuite, vous en avez une qui est vraiment réel, mais vous êtes comme, ''Non, je ne peux pas maintenant - Je ne peux même pas considérer...'' »
Stewart n'est pas une grande dans l'achèvement de ses phrases. Elle travaille chaque mot, la frustration évidente dans son sourcil froncé, ses longues pauses, et ses profondes respirations. C'est clair qu'elle ne veut pas, ou même ne sait pas comment, donner des extraits sonores, un trait qui lui a valu une réputation d'être réservée ou ingrate.
Mais les sillons, les pauses et les respirations profondes sont en fait parce qu'elle est presque trop soucieux. « Tout ce que j'essaie de faire dans la presse - en particulier pour la « Saga Twilight » - est d'être honnête sur quelque chose qui me tient vraiment à c½ur. Et tout ce qui se passe, c'est que je pense que je vaux mieux que ça, que je suis snob, » dit-elle, résonnant vraiment confus et un peu vaincu. « J'ai eu tellement de mes citations détournéesNylon [Mars 2009] - les citations sont un peu diaboliques... Personne ne devrait jamais prendre ce que je dis et le mettre dans un magazine. »
Ce n'est pas que Stewart est opposée à jouer le jeu - c'est juste qu'elle semble perdue sur la façon de le faire. Sur son aspect maladroit au Late Show With David Letterman : « Je sens comme si je n'avais rien à dire à ces shows, parce qu'ils n'ont pas pour but de parler de votre film. C'est bizarre quand les gens veulent savoir des choses sur vous. Je suis comme, ''J'ai fait un film qui s'appelle « Twilight 1 : Fascination, » et c'est la chose la plus intéressante sur moi, malheureusement.'' » Elle rit. « Ce n'est pas une chose profondément d'insécurité ou d'auto-dépréciation, comme, ''Je n'en vaux pas la peine.'' Je suis parfaitement bien avec ça. C'est plus comme les dix prochaines minutes de ma vie être, comme, ''Qu'est-ce que je faire ? Pourquoi suis-je ici ?'' Et aussi, je ne suis pas bonne pour la chose drôle - la plupart des gens sont vraiment grands dans ces émissions. Je n'ai pas une personnalité artificielle qui [je peux] juste laisser couler [pour] un moment de cinq minutes, alors je finis par rester assisse là et regarder un peu déconcertée. Gênée. »
Stewart allume une cigarette au moment où le service de chambre que nous avons commandé arrive. Nous nous asseyons sur le sol, écartant les plats. Elle prend quelques cuillerées de soupe à la tomates, arrache quelques morceaux de fromage grillé, sirote un Coca - mais est surtout trop préoccupée par la conversation à portée de main pour manger. Sa jambe est croisée ; l'une d'entre elle se balance encore.

Née à Los Angeles et élevée à Woodland Hills dans la Vallée, Stewart a tourné autour du cinéma toute sa vie. Son père, John, est metteur en scène et producteur de télévision, et sa mère, Jules, superviseur et bientôt réalisatrice. Son frère, Cameron, est une valise. Mais les liens de l'industrie vont encore plus loin vers les parrain/marraine de sa mère, qui sont comme des grands parents pour elle : Michael D. Moore a été une fois réalisateur adjoint de Cecil B. DeMille, et l'épouse de Moore, Laurie Abdo, « a fondamentalement géré Paramount » pendant trente ans dans son rôle d'assistante du chef de production Howard W. Koch.Nylon [Mars 2009] « Tout le monde que j'ai grandi autour était un cinéaste vétéran, » Stewart dit. « Je veux dire, mes parents sont une totale équipe. Mais ma mère, qui est superviseuse de scénario, est assise à côté du réalisateur tout la journée, tous les jours, donc j'ai fondamentalement grandi sur les plateaux. »
Cependant, la mère et le père de Stewart ne l'ont jamais poussée à faire des films. Au lieu de ça, elle a été découverte par un agent qui, après avoir vu Stewart chanter dans une pièce de Noël, a contacté ses parents au sujet de l'envoyer passer des auditions. Ils étaient hésitant au début, mais leur fille de huit ans a persisté. « Je ne me souviens même pas d'avoir dit : ''Ouais,'' »  se souvient Stewart, « mais je me souviens avoir pensé que je pouvais totalement le faire. » Même si l'agent ne l'avait poursuivie, pour l'entendre dire, son incursion dans Hollywood n'était qu'une question de temps. « J'étais toujours fière d'aller à l'école et de dire : ''Mes parents font des films.'' C'était juste le travail de la famille. Et tout le monde qui grandit de cette façon - ils finissent toujours inévitablement par faire quelque chose dans l'industrie. C'est comme, fait autre chose est trop normal. C'est un cirque, vous savez ? » Elle a eu le première rôle un an plus tard dans un film télé Disney, « The Thirteenth Year, » mais sa grande évasion est venue en 2002, quand elle a joué le rôle de la fille de Jodie Foster dans « Panic Room. » L'attitude imperturbable et irréelle de l'actrice vétérane l'a évidemment effleurée. « Jodie ne laisse rien se détendre. Elle est si forte qu'elle est si infatigable, » dit Stewart. « Et étant si jeune à l'époque - vous êtes une éponge quand vous êtes un petit enfant, si impressionnable. Je pense que si [j'avais travaillé avec] quelqu'un d'autre et pas elle quand j'étais plus jeune, j'aurais pensé aux chose différemment. Beaucoup d'acteurs pensent que ce que nous faisons est si important, comme si nous sauvions la des gens ou quelque chose d'important. »
Au fur et à mesure que la carrière d'actrice de Stewart a pris son envol, elle a abandonné l'école [au cours de la septième année], optant plutôt pour une étude indépendante. « C'était une nécessite... Quand je m'en allais travailler, mes professeurs ne me donnaient qu'une partie de mon travail scolaire, et je rentrais à la maison et ils m'abandonnaient, je faisais trop de travail pour eux ; ils n'avaient rien à me reprocher, » dit-elle, « j'étais heureuse de partir. » Nylon [Mars 2009] Stewart n'avait pas d'amis là-bas, et l'atmosphère était pénible. « Si vous ne portiez pas la bonne paire de jeans - j'étais tellement pas cet enfant - alors vous étiez totalement scrutée et persécutée, » dit-elle. « Ça aurait été si évident si j'essayais de m'intégrer - toute ma famille m'aurait regardé comme n'importe quel étudient, ''Pourquoi es-tu une personne différente ?'' » En grandissant, elle était plutôt un garçon manqué. « Je ne pouvais pas m'occuper d'être girly, genre, du tout. Je ne pouvais pas porter des jeans serrés, ce qui signifiait que vous montrer votre c**. J'étais pas tellement dans ça, » dit-elle. « J'ai toujours eu une sorte d'aversion sur le fait d'avoir l'air sexy - c'est grossier, vous savez ? » Elle grimace. « Je veux dire que vous pourriez lire dans ça, aussi, genre ''Elle se met dans la m****. Elle a des problèmes.'' [Rires] Mais j'ai grandi un peu. »
Passez quelques heures avec Stewart, et vous vous rendez vite compte pourquoi elle est capable de jouer des adolescents compliqués si entièrement : Elle choisit délibérément des personnes dont les personnalités ne s'éloignent pas trop de la sienne. « Je n'ai joué que des personnages qui sont comme... moi, » dit-elle. « Je n'ai jamais joué un personnage qui soit différent de ce que je ferais dans cette situation. J'ai toujours été complètement honnête et humble. »
Son rôle dans « Adventureland : Un Job à Éviter » ne fait pas exception. Basé sur un été de Mottola passé à faire un travail de m**** dans un parc d'attraction délabré en 1987, le film est une histoire tranquillement douce et drôle sur l'amour et les amitiés qui se développent parmi une équipe de jeunes inadaptés. Stewart joue Em - une fille tourmentée dont la mère est morte d'un cancer et qui a une belle-mère abominable - avec sa sensibilité habituelle de proscrite. « Mon personnage est un peu inepte à la vie, juste, genre, fermé, » explique Stewart. « Elle a des problèmes avec les hommes, elle a perdu sa mère quand elle était vraiment jeune... Elle ne peut pas faire face. Et en même temps, elle a un esprit vraiment sec, amusée de la m**** qui sort d'elle et de personne d'autre. »
Nylon [Mars 2009] Il s'agit d'un casting repéré. « Son personnage a tout le poids dramatique du film, et j'avais besoin de quelqu'un qui était aussi jeune et pourrait se faire que convaincante, » dit le réalisateur de Stewart. « Kristen est très audacieuse en tant qu'actrice. Elle s'est vraiment intéressée à la psychologie du comportement humain - pour trouver la vérité, c'est vraiment intéressant de la regarder penser. Je que ça ressemble à des paroles idiotes d'acteurs, mais certains acteurs font de la pensée une action dramatique. Et elle a juste ça avec ses yeux : Sa personnalité vient juste par son visage. »
Pendant le film, Em tombe amoureuse de James, joué par le geek adorable Jesse Eisenberg [« Les Berkman se séparent »]. « Jesse est le plus mignon... Vous voulez manger son visage, au fond, » dit Stewart de son co-star. « Et il est si intelligent qu'il en est intimidant, mais pas d'une façon lointaine à la condescendante. Il est une personne incroyablement admirable, juste, et en même temps, il est un genre de sacoche, aussi. »
Malgré le fait que les deux aient partageaient des scènes de baisers, il est peu probable que les tabloïds aient tant de plaisir à cuisiner des histoires d'une romance sur le tournage comme ils l'ont fait avec Stewart et Pattinson.
« C'est juste totalement faux, » dit Stewart des rumeurs, en riant. « Rob et moi sommes de bons amis, nous avons passé beaucoup de temps ensemble, donc nous nous sentons très proches. Mais si nous sortons en public,chaque petit détail est scruté, comme la façon dont je suis à côté de lui. Et c'est comme, je sais que le gars est vraiment p***** bien. [Rires] C'est normal que nous nous appuyions l'un sur l'autre, parce que nous sommes dans la plus bête des situations psychotiques. »
Stewart a rencontré son actuel petit ami, Angarano, en 2004 lorsque le duo a joué dans le film de Lifetime « Speak. » Nylon [Mars 2009] Ils sont devenus immédiatement les meilleurs amis, mais ils ont seulement commencé à sortir ensemble il y a deux ans. « Il est plus âgé que moi - il a maintenant vingt ans - mais quand vous avez treize ans et qu'il en a seize, c'était toujours en quelque sorte une chose hors de portée. Ensuite, vous devenez un peu plus âgée, et vous réalisez : ''Oh, m****à quoi je pensais ? Je peux t'avoir, comme,...'' » Elle claque ses doigts, en riant. « Il est génial. »
Stewart essaie de ne pas laisser sa nouvelle renommée dominer sa vie. Bien qu'elle n'ait pas fait la promotion d' « Adventureland : Un Job à Éviter, » elle utilise cette pause hivernale avant de tourner le prochain épisode de la « Saga Twilight, » « Twilight 2 : Tentation, » pour passer du temps avec Angarano, et passer du temps avec ses ami[e]s proches, y compris sa co-star dans la « Saga Twilight » Nikki Reed. « Mes parents sont très bons pour vivre la vie, » dit Stewart, qui vit encore à la maison avec eux. « Ils sont cools, ils ne comprennent pas nécessairement tout ce que je fais, mais ils le supportent. » La famille est rejointe par trois chiens [deux d'entre eux sont en fait des loups] et un chat du Bengal, Max, que Kristen appelle Jella parce que « son alter égo pour moi est ce petit musicien de soul, du Sud. » Stewart, en attendant, est en train de brosser le Rock'N'Roll.
Stewart a joué de la guitare pendant huit ans et se prépare déjà pour son rôle de Joan Jett dans « The Runaways , » le film sur le groupe pionnier de la réalisatrice de musique-vidéo Flora Sigismondi, bande d'adolescente dans les années soixante-dix. Elle se jette dans le rôle, apprenant même toutes les chansons du groupe afin qu'elle puisse les jouer en direct dans le film. « Il y a une immense, massive, super p***** de forte pression, » dit Stewart, de jouer un badass comme Jett. « Si je fais ce film et que je le vois et que je le déteste et je pense que je l'ai totalement m***é, je vais m'excuser publiquement auprès de Joan. » Toujours assise sur le sol - elle a en quelque sorte réussi à se glisser dans un coin de la pièce - elle allume une autre cigarette. « Mais en même temps... Non, je ne vais pas dire ça, ça sonne si p***** arrogant, » elle se coupe elle-même. « J'allais dire, aussi longtemps que vous vous souciez autant que je m'en soucie, vous ne pouvez avoir honte de rien. »
 
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#Posté le mardi 25 juin 2013 11:09

Modifié le lundi 06 février 2017 14:12

Alternative Press « Zathura : Une Aventure Spatiale​ » [Numéro 209 Décembre 2005]

(Traduction)

Alternative Press « Zathura : Une Aventure Spatiale​ » [Numéro 209 Décembre 2005]
Par : Trevor Kelley
 
Kristen Stewart

Âge : 15 ans.
Réside à : Woodland Hills, Californie
 
RÉSUMÉ : Quand nous avions quinze ans, les lois de l'État nous empêchaient de gagner la mention d' « Employé du Mois » à Taco Bell jusqu'à ce que nous avions l'âge légal pour travailler. Kristen Stewart, cependant, nous a emporté à douze ans en travaillant avec Jodie Foster dans « Panic Room » en 2002. Ce moi-ci, suite à son rôle acclamé dans le film Showtime de 2004 « Speak, » Stewart peut être vu sur le grand écran jouant la fille de Tim Robbins dans « Zathura : Une Aventure Spatiale, » une adaptation du livre pour enfants portant le même nom. Elle tourne également pour la sortie en salles l'année prochaine avec Meg Ryan et Adam Brody dans la prochaine comédie noire « In The Land Of Women. »

MONDES DIFFÉRENTS : Tandis que le rôle à venir de Stewart dans le film réalisé par Jon Favreau trouve la maison de sa famille catapultée dans l'espace [Stewart ne peut toujours pas prononcer « Zathura, » mais elle aime les effets spéciaux du film.], c'était son premier rôle dans « Speak » en tant que jeune fille qui se débat avec un secret qui lui a permis le goût initial de la critique du succès l'hiver dernier au Sundance Festival. « Ce n'était pas du tout ce à quoi je m'attendais beaucoup de prétention et d'étrangeté, » admet-elle. « Bien que Paris Hilton était là. Ce qui est regrettable. »

ÉCRIRE SUR : Même si elle a été retiré du système scolaire publique en septième année, Stewart s'est d'une forme libre de cours d'anglais qu'elle a pris à la maison un an plus tard ; et, peut-être pas que ce n'est étonnant, elle a déjà commencé à écrire son premier scénario. « Les gens m'ont dit ''Tu devrais vraiment sortir du lot « Nerveuse » de jouer la chose, '' » dit-elle. « [De toute façon], je suis là pour l'histoire. »

PAS MOITIÉ VRAI : « J'ai écouté Deab Gab [For Cutie] et Elliott Smith, » dit Stewart, de ses goûts musicaux en plein essor. « Je suis très récemment familière avec [Smith]. C'est en fait un peu amusant. Je suis assis sur le plateau du tournage en cours d' « In The Land Of Women, » je parlais à Adam Brody de lui. Je me suis dit : '' Je le jure - le premier film que je fais, il a marqué le film entier. '' Il était comme, '' Ça pourrait ne pas être du travail, puisqu'il s'est tué lui-même. '' Elle a laissé s'échapper un rire nerveux. '' Je ne savais même pas. '' »
 
[ARTICLE JUSTE A KIFFER !!!!]
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#Posté le mardi 14 mai 2013 12:52

Modifié le mercredi 28 décembre 2016 07:24

Teen Vogue [Octobre 2004]

 Teen Vogue [Octobre 2004]
(Traduction)

Kristen & Matt Long,
photographiés par Nathaniel Goldberg.
 
Micro Interview :
 
Kristen Stewart,
Âge : Quatorze ans,
Ville natale : Los Angeles,
Drama Queen : « Quand j'ai à rire ou être heureuse dans une scène, » Kristen dit, « ça me fait genre déprimer. » C'est une bonne chose, alors, que ça n'arrive pas si souvent que ça. Depuis sa participation avec Jodie Foster dans « Panic Room, » elle a eu un périple de rôles dans des films comme « L'Autre Rive, » « Les Gens Impitoyables, » et le hit de Sundance « Speak. » « Si je dois avoir une rupture ou devenir toute émotive, » explique t-elle, « c'est facile. »
 
[ARTICLE JUSTE A KIFFER !!!!]
Tags : Portrait, 2004, Teen Vogue, Matt Long, Nathaniel Goldberg, Los Angeles, Panic Room, David Fincher, Sarah Altman, Jodie Foster, Meg Altman, L'Autre Rive (Undertow), David Gordon Green, Lila, Les Gens Impitoyables (Fierce People), Griffin Dunne, Maya, Speak, Jessica Sharzer, Melinda Sordino
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#Posté le lundi 11 février 2013 09:57

Modifié le mercredi 28 décembre 2016 07:24

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